Tasse de thé, bilan, Paris

Confortablement installée dans un magnifique loft tout en-haut d’un immeuble ancien au cœur de Paris, je suis assise à la fenêtre et je bois une tasse de thé. Je viens d’arriver et avant d’officiellement lancer mes vacances, je prends un moment pour penser à ce que j’ai accompli en cette première partie d’année.

Les vacances d’été, c’est toujours un bon moment pour faire le point parce qu’elles marquent un semestre qui se termine.

Ce qui me vient immédiatement à l’esprit dans mon bilan mi-chemin, ce sont les visages des personnes qui sont venues me voir cette année. Les personnes qui m’ont amené leurs projets, leurs rêves et leurs doutes et qui m’en ont fait cadeau de leur confiance en me livrant leur vision – parfois très clairement, parfois de manière encore brouillon, mais avec cette lueur d’espoir dans l’œil - et en me demandant de les accompagnant à les concrétiser. Toutes ses personnes qui se sont mises à la tâche, souvent assises en tailleur sur mon canapé blanc, en regardant le lac à l’horizon.

Prenez ces deux femmes de 55 et 60 ans qui sont venues avec des projets ambitieux et cette même envie d’apporter du soulagement et du soutien aux autres. « Je suis à quatre ans de la retraite, mais j’ai besoin de prendre ce chemin. Vous pensez qu’il est trop tard pour devenir indépendante ? » « Patricia, je visualise tous les matins mon cabinet, je le vois. J’ai besoin que tu m’aides parce que je n’y connais rien au marketing. » Quel cadeau de pouvoir les aider et de les voir prendre de l’assurance au fur et à mesure que leurs projets prennent forme.

Ensuite, me viennent à l’esprit, deux projets qui sont liés au Sénégal. Cette fois-ci, ce sont des hommes, artistes et entrepreneurs, qui sont venus me voir. Deux personnes, avec des projets différents, mais qui ont une essence similaire : créer des ponts culturels grâce à la musique pour partager la richesse de l’Afrique avec l’Europe et vice-versa. Accompagner des projets de ce type, c’était le vœu que j’avais formulé à mon retour du Burundi il y a bientôt deux ans. Ça se concrétise !

Puis, il y a une phrase d’une cliente qui me revient à l’esprit : « Je suis venue chez vous parce qu’on ressent que vous infusez la spiritualité dans vos activités. » Et inversement, venant d’une cliente adepte de la philosophie bouddhiste : « Je vous ai choisie comme coach parce que vous avez été basketteuse. J’aime bien que vous ayez évolué dans le physique, le concret, la matière. (Et puis, j’ai vérifié avec mon pendule.) » Rires.

C’est cette diversité et originalité qui me plait. Il n’y a pas un jour qui ressemble au suivant. Et parce qu’on travaille sur leur projet de cœur, mes clients osent se lâcher et y mettent tout leur cœur. Dans cette aventure-là, il est fini le temps où on laissait les émotions à la maison pour réussir et où on compartimentait le perso et les affaires. Pour réussir son projet de cœur, on prend tout. On les infuse avec notre âme, nos valeurs montrent le cap, l’intuition devient un outil de travail, les émotions indiquent si on est dans le juste et le pendule peut parfois devenir une technique pour confirmer ses décisions.

C’est énormément de gratitude que je ressens en buvant mon thé cet après-midi. Un énorme merci à tous mes clients pour votre confiance et pour me nourrir de votre courage, détermination et enthousiasme.

Lorsque je me tourne vers le futur proche, je souris aussi : mes projets vont devenir internationaux ce qui est un de mes objectifs cette année et je vais bientôt proposer un programme en-ligne et un programme en groupe, deux autres objectifs. Plus d’infos là-dessous prochainement.

Si vous avez un projet de cœur qui vous titille, sachez que j’aurais de la place pour accompagner 3 nouveaux projets dès le mois d’août. Alors s’il est temps, écrivez-moi et je vous contacterai dès mon retour. Pour l’instant, je vais profiter du romantisme de Paris et aller réveiller mon rythme intérieur au concert de « Do You Speak Djembe ? » à l’Alhambra.

Et vous, quel est votre bilan cet été ? Quels sont les personnes et les projets qui vous ont fait vibrer jusqu’ici en 2014 ?


Grande aventure 2014

En plus de la santé, du bonheur et de l’amour, pour 2014, je vous souhaite de VOIR GRAND et de défier ce que vous prenez pour vrai qui vous empêche de vous lancer dans une NOUVELLE AVENTURE. 

Juste avant Noël, je suis allée à New York. Pour moi, les voyages aux Etats-Unis me permettent toujours d’élargir mes horizons et de ressentir la Liberté (enfin, dès le passage de la douane). Me balader dans cette grande ville où l’expression populaire dit « si vous ne le trouvez pas à New York, c’est que ça n’existe pas », où la confiance frise l’arrogance, me donne des ailes.

Je suis de retour avec en tête de nouveaux projets un peu fous mais qui me stimulent et me donnent envie de défier les limites que je me suis imposées personnellement et professionnellement. 2014 va déménager. Je vous l’annonce.

C’est la même force que j’avais ressentie quand j’avais 19 ans et que j’avais décidé d’aller étudier aux Etats-Unis. J’avais entendu qu’il était possible d’obtenir une bourse d’étude pour jouer au basket dans une université de première division et je m’étais lancée tête baissée dans le projet.

A l’époque, ce n’était pas courant et je ne connaissais personne qui l’avait fait. J’avais donc improvisé en demandant conseils à tous les américains que je côtoyais. J’avais fait une cassette vidéo (oui, une grande cassette VHS…) que j’ai copié 20x. J’ai également écrit une cinquantaine de lettres. J’ai envoyé le tout à travers les Etats-Unis.

Alors que je commençais à désespérer de ne recevoir que des réponses négatives, une coach m’a appelé et m’a dit qu’elle me donnait une bourse complète d’étude. C’était parti : je passerais les 3 prochaines années de ma vie en Caroline du Sud dans la magnifique ville de Charleston.

plaquette-cofcLorsque j’ai terminé mes études en histoire américaine (ha ha), j’ai reçu, lors d’une somptueuse cérémonie, une plaque commémorative en bois avec mon nom gravé en doré et une photo de moi entrain de jouer au basket. (L’objet pèse une tonne et je le transporte avec moi à chaque déménagement sans jamais savoir qu’en faire.) Côté pratique à part, les Américains savent prendre le temps de clore un chapitre et le célébrer dignement.

En Europe, nous avons moins cette notion de commémoration en grande pompe. Parler de ces succès et de ces accomplissements est rapidement synonyme de vantardise. Il doit cependant y avoir un juste milieu, vous ne croyez pas ?

Je fais ce crochet du côté d’une période de ma vie dont je suis fière, non pas pour m’encenser, mais pour illustrer l’importance de reconnaître les moments dont nous pouvons être fiers, de se les remémorer et de les célébrer.

Un début d’année est le moment idéal pour aller revisiter l’année passée et reconnaître ce que nous avons accomplis. Je vous propose donc de le faire, dans un moment de quiétude et d’introspection, en vous posant 4 questions fondamentales :

  • Quelles croyances avez-vous dépassées en 2013 ? Ou quelles sont les choses que vous preniez pour vraies et figées que vous avez défiées ?
  • Quels ont été vos accomplissements ?
  • Qu’avez-vous appris des moments difficiles ?
  • Et de tout cela, que prenez-vous avec vous pour le futur ?

Et maintenant que vous avez réalisé tout cela, dans quelle GRANDE AVENTURE allez-vous vous lancer en 2014 ?

 


Grand Projet, Forces, Valeurs

Je parle souvent de réaliser son « Grand Projet », en majuscules. C’est quoi un Grand Projet ?

Un Grand Projet, c’est la mise en œuvre de votre philosophie de vie ; c’est la création de votre style de vie en fonction de 2 facteurs clés :

  • vos valeurs : ce qui important pour vous, ce qui vous motive
  • vos forces et talents : ce en quoi vous êtes doué et que vous aimez faire

Nous sommes au tournant d’une nouvelle ère. Des institutions et façons de faire s’écroulent (pensez à la crise financière, aux sub-primes, aux gouvernements qui ne s’en sortent plus), des grandes catastrophes écologiques secouent (BP, Fukoshima), des foules se mobilisent pour créer des mouvements qui incitent aux changements (Occupy Wall Street, pour n’en nommer qu’un), les nouveaux médias nous connectent avec tous les recoins du monde. Ça bouge. Les règles du jeu changent. Ça va vite.

Il y a une grande prise de conscience collective : on ne peut tout simplement pas continuer comme si de rien n’était, comme si les pratiques du siècle dernier était satisfaisantes et durables, comme si parce que ça va en Suisse, on pouvait ignorer ce qu’il se passe ailleurs. Vous me rejoindrez peut-être pour exprimer qu’il y a besoin de revoir certains de nos fonctionnements et de nos priorités.

C’est dans ce contexte où rien n’est certain et où nous devons réinventer la vie économique, sociale et écologique de notre monde, qu’il est important et intéressant de se pencher sur son « Grand Projet ». Sans vouloir nécessairement « sauver le monde », je pense qu’on peut, à notre échelle, apporter notre pierre à l’édifice.

Alors, pour commencer, 3 questions de réflexion personnelle:

  • Quelles sont les valeurs que vous défendez ?
  • En quoi êtes-vous fort ?
  • Est-ce que vos activités contribuent à exprimer vos talents et sont alignées à vos valeurs?

Pour les forces, je recommande le site www.strengthsfinder.com où vous pouvez faire un test en-ligne pour découvrir vos talents. Les résultats sont bluffants. Ce que j’ai particulièrement apprécié dans ce test, c’est que j’ai découvert que « connexion » était une force. J’avais pensé que c’était une option qui venait avec tous les modèles, qqch de logique pour tout le monde. C’est ma première force :

« Vous êtes persuadé que tout ce qui vous arrive à une cause. D’autant plus qu’au fond de vous, vous savez que nous sommes tous connectés les uns aux autres. Bien sûr, nous sommes tous des individus à part entière, responsables de nos propres jugements et capables d’user de notre libre arbitre, mais nous faisons tous partie, néanmoins, de quelque chose de plus grand. Certains appelleront cela l’inconscient collectif, d’autres l’esprit ou encore la force vitale, mais quel que soit le terme choisi, le fait de savoir que nous sommes liées les uns aux autres, à la terre et à la vie, affermit votre confiance. Ce sentiment de connexion implique certaines responsabilités. Si nous faisons tous partie de quelque chose de plus grand, nous ne devons pas faire de mal – au risque de nous blesser. Nous ne devons pas exploiter les autres – au risque d’être nous-mêmes exploités. Nous ne devons pas faire souffrir, sans quoi nous risquerions de souffrir nous-mêmes. Vous êtes conscient de cette responsabilité et c’est sur elle que repose votre système de valeurs. C’est pourquoi vous êtes prévenant, attentionné et tolérant. Certain de l’affinité des êtres humains, vous tissez des liens entre les personnes de différentes cultures. Sensible aux choses invisibles, vous réconfortez les autres en leur affirmant qu’il existe un sens à nos vies monotones. Les principes auxquels vous croyez découlent de votre éducation et de votre culture, et votre foi est solide. Elle vous porte, tout comme elle porte vos amis intimes, face aux mystères de la vie. »

Quelle est votre plus grande force ?

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Dans mon prochain stage Vision & Action, nous parlerons de vos forces et vos valeurs et comment elles deviendront les piliers de votre stratégie pour réaliser votre Grand Projet :
24 mai 2013 à Crissier
Vite, vite, il reste des places. Infos et inscriptions.


7 trucs pour gérer son temps

La « gestion du temps » vs la planification de ce qui est important

Le terme « gestion du temps » m’est presqu’aussi insupportable que l’invention de la machine à timbrer. Comment avons-nous fait pour en arriver à avoir besoin d’une machine à timbrer ou d’un concept tel que la gestion du temps ? Peu importe. Ce que je vous propose c’est de regarder ce qui se cache derrière.

Depuis que je suis rentrée des Etats-Unis et que je me suis mise à mon compte, j’essaie de passer d’un système de 8 heures par jour à organiser mon temps de travail en fonction de ce que je veux construire et développer. Processus que les indépendants connaissent bien et sur lequel tous ceux qui ont envie de se sentir « libre » se heurtent à un moment ou un autre !

Depuis le début de l’année, le thème du temps et du travail est très présent dans ma vie et dans celles de mes clients et amis. Cela m’a permis d’arriver à quelques réflexions et trucs pour l’aborder de manière de plus en plus sereine sans claquer la porte et aller habiter sur une île ensoleillée et lointaine.

1. « Il faut travailler dur. » Vraiment ?
C’est une croyance culturelle avec laquelle nous sommes nés. On rigole de l’adage « le travail c’est la santé », il n’empêche qu’il n’y a qu’à voir le nombre de fois qu’on tombe malade juste quand on est en vacance ou juste quand on arrive à la retraite.

Le truc avec les croyances, c’est qu’elles sont souvent enfouies profondément en nous et qu’il faut avoir réellement envie d’aller creuser et de vouloir changer pour en prendre conscience, aller la défaire et en construire une autre plus utile, aidante et plaisante.

3 questions clés à se poser pour lancer notre mental sur d’autres pistes:

  • Quand ai-je décidé que cela était vrai ?
  • Est-ce toujours vrai pour moi aujourd’hui ?
  • Et si je faisais autrement ?

2. Quelle est l’émotion qui apparaît lorsque vous faites « rien » ?
Lorsque des clients viennent vers moi pour mieux gérer leurs temps, ils découvrent que derrière l’agitation, le devoir faire plus, il y a une émotion gênante et puissante : de la culpabilité, de la honte, de la colère, de la peur, etc.

Cette émotion a été tellement réprimée qu’au fil des ans, elle est montée en puissance et semble de plus en plus ingérable. Du coup, plutôt que de se perdre dans cette émotion, il est préférable de rester dans l’agitation.

Comment vous sentez-vous quand vous prenez du temps pour vous ?

Nommer l’émotion est déjà un grand premier pas.
(La « gestion des émotions » fera l’œuvre d’un autre article. C’est un autre vaste sujet !)

3. Que veut dire « rien faire » pour vous ?
Est-ce que « rien faire » veut aussi dire « prendre du temps pour vous » ?
C’est dommage comme association, non ?

4. Faire ses « 8 heures par jour » et la productivité
Au fil de l’ère industrielle, faire son « neuf-heures-cinq-heures » et la productivité ont été ficelé ensemble jusqu’au point où aujourd’hui, il peut nous arriver d’être bloqué dans un système où on doit « faire ses heures » et où on « réduit sont temps de travail » ou encore « on passe à un pourcentage moins élevé ».

En dissociant les heures à faire et la productivité, on arrive petit à petit à sortir du moule ou à « remouler le moule » dans des structures moins rigides. Alors il est juste de se poser des questions encore et encore comme :

  • Que veut dire la « productivité » pour moi ?
  • Et si je faisais mon travail en 6 heures, faudrait-il faire plus ? Est-ce que ça amènerait à mieux ?
  • A quoi est-ce que cette productivité contribue ?

5. Clarté, vision & action
Je suis une adepte de lancer des projets qui nous tienne à cœur, de se lancer dans la réalisation de son rêve. Pour cela, il faut avoir une vision claire ou en tout cas mettre l’intention qu’elle se clarifie de plus en plus.

Ensuite, il est important d’avoir de la clarté sur ce qui est important afin de se fixer des objectifs ou des étapes de projet. Cela permet de créer un planning en fonction de nos valeurs plutôt que de se soucier uniquement de ce qui est attendu de nous par l’extérieur.

Avoir un plan d’action avec des étapes claires permet également de se mettre un cadre à l’intérieur duquel on peut être flexible et créatif et rester concentré.

(Je suis tellement convaincue du système que j’ai mis en place pour ma « gestion du temps », que je le propose sous forme de stage. Voir mon stage Vision & Action.)

6. Faire des listes qui ont du sens
Quelle satisfaction de biffer une ligne de sa « to do list » ! Mais attention, devenir esclave d’une to-do-list de six mètres de long, c’est dommage aussi. Trois trucs tout simples pour avoir une liste qui a du sens :

  • La règle des 7 +/- 2 : notre cerveau ne peut enregistrer qu’environ 7 choses à la fois alors si vous mettez plus de 7 (plus ou moins 2) éléments dans votre liste de choses à faire, votre cerveau va avoir de la peine et cela va être source de stress. Optez donc plutôt pour diviser vos tâches en catégories de choses à faire qui ne dépasse pas 7.
  • Une amie à moi qui est super efficace à une phrase célèbre que je trouve utile : « Si c’est sur ma liste, c’est que ça mérite d’être fait »
  • Ma phrase préférée quand mon cerveau s’emballe : « Une chose à la fois ». Ça m’évite de checker facebook, mes e-mails et mes sms pendant que j’écris un texte par exemple.

7. Last but not least : avoir de la compassion pour soi-même
Arrêtons de nous taper sur la tête d’être trop stressé, de vivre dans un système de fou, de nous en vouloir de ci et de ça. Accordons-nous du crédit d’essayer, de faire de notre mieux. Continuons à prendre un bouquin qui nous intéresse et le lire même si nous ou notre employeur (ou les deux) juge cette activité « non-productive ». Petit à petit, ces activités que nous appelons créatives ou ressourçantes entrerons aussi dans la catégorie « productive » et ce sera un grand pas en avant.

Conclusion :
stopglorificationofbusy

And begin the glorification of what’s really important.*
*Arretez la glorification de « être occupé ». Et commencez la glorification de ce qui est vraiment important.


Interview video

Une vidéo de 4mn en dit parfois tellement plus que toutes les descriptions du monde et c'est le cas de celle-ci où je parle de comment j'accompagne les visionnaires à partir à l'aventure et réaliser leur grand projet.

Prochain stage Vision & Action le 27 septembre 2013 à Bois-Genoux.

Inscrivez-vous avant le 1er août pour réserver votre place et bénéficier du prix spécial "early bird"!


5 étapes pour faire face à ses peurs

On sait bien que nos plus grands succès se passent en dehors de notre zone de confort. On le sait bien, mais à chaque fois on est quand même surpris de ressentir cette peur au ventre et d’entendre cette petite voix à l’intérieur qui doute.

Ce sentiment me ramène à des années en arrière. J’avais 18 ans et j’étais passionnée de basket. Je jouais depuis une année en ligue nationale A quand une américaine qui jouait comme professionnelle en Suisse m’a dit que les universités américaines offraient des bourses d’études pour les sportifs et que j’avais le potentiel pour en obtenir une.

J’avais déjà passé une année aux Etats-Unis deux ans auparavant et je n’avais qu’une envie en tête, c’était de repartir. Alors sa remarque n’est pas tombée dans l’oreille d’une sourde. J’ai mis en place toute une stratégie pour obtenir cette fameuse bourse.Read more